FESTIVAL
CINE-VIDEO-PSY -
Résumé :
Dans quel état psychologique se retrouvent les personnes victimes d’un accident
de voiture, d’un incendie, d’une agression, d’une violence sexuelle,d’une
collision ferroviaire ?
75% d’entre elles seront choquées pendant les
quelques semaines qui suivront l’incident traumatique. Pour les autres 25 %,
l’état de choc va se chronifier, on parlera alors du syndrome de stress
post-traumatique.
LE REGARD DE DELPHINE -
HUMBERT Nago - 2000 - 50 minutes
Thème :
Enfance/Deuil
Résumé : Sous forme de fiction, le film conte
l'histoire d'une lutte commune contre la maladie et l'inéluctable, menée par le
petite Delphine, ses parents et toute l'équipe médico-chirurgicale qui
s'affaire autour de la jeune patiente.
NAISSANCE DE LA PAROLE
- CAILLAT François - 1999 - 56 minutes
Thème :
Le langage chez les bébés.
Résumé :
Le langage vient-il dès la naissance et comment ? Doit-on l'apprendre, et
sous quelles conditions ? La relation avec la mère est-elle primordiale ?
Chercheurs et thérapeutes s'interrogent sur les conditions d'émergence de
la parole. On suit des expériences avec des nourrissons savants et des séances
de thérapie pour grands enfants mutiques...
On écoute des parents, des linguistes, des médecins...On
assiste au dialogue entre des psychiatres
et des physiologues...
En dix questions fondamentales, le film montre que
l'acquisition du langage exige à la fois une prédisposition génétique et un
échange affectif et ludique.
Résumé : Un documentaire sur les aveugles et les arts d’images au travers de 3 parcours de malvoyants. Un cinéphile, un acteur et un photographe. Comment une image peut-elle vivre dans le noir ?
PARLEZ-MOI D’AMOUR - Chantal
BRIET - 1999 - 35 minutes
Thème :
Adolescence, Amour, Sexualité
LA DEVINIERE - Benoît DERVAUX - 2000 - 90 minutes
Résumé : Le 18 février 1976, La Devinière,
un lieu de psychothérapie institutionnelle, ouvrait ses portes à 19 enfants
réputés incurables, refusés par tous.
Ni le sens commun, ni la psychiatrie, ni la pédagogie ne pouvaient les admettre, les reconnaître.
Ces enfants, en sommes exilés, La Devinière les a acceptés
définitivement avec comme principe fondateur de ne les rejeter
sous aucun prétexte. Le mot « asile »
reprend son sens, un espace sans grille, ni chimie où l’on donne le droit de « vivre avec sa folie ». Durant
plus de vingt ans, des liens de solidarité se sont forgés entre ceux que rien ne reliait.
Au fil des saisons, j’ai filmé au plus près ce lieu
qui a fait rejaillir la vie là où tout semblait
condamné.