PALMARES – 25ème FESTIVAL

FESTIVAL CINE-VIDEO-PSY -  LORQUIN 2001

  

 




CLE D’OR 2001


ESSABAR ou L’ABRI DE L’ETRE - ZARINA KHAN - 2000 - 90 minutes
Thème
 : Réinsertion
Résumé
 : En quête d’identité, de jeunes gens « marginalisés » découvrent le désert.
  

CLE D’ARGENT 2001


AU TEMPS TIC-TAC - ESPACE CLAUZEL - 2000 - 5 minutes

Thème : Vidéo clip rap sur le thème du temps écrit, réalisé et interprété par les patients du groupe vidéo du CATTP.


CLE D’ARGENT 2001


UNE VIE D’ICI - Lionel MOUGIN - 2001 - 26 minutes
Thème : La vieillesse
Résumé : Michel a 70 ans, il vit seul dans la conciergerie d’une usine de textile fermée depuis 10 ans dans laquelle il a travaillé toute sa vie et rencontré sa femme Amélie, morte depuis 2 ans. La vie de Michel s’écoule, monotone ;la ronde quotidienne de l’usine, le blanc chez Raymond, le cafetier… Et puis en parallèle, il y a les souvenirs de Michel : le travail à l’usine du temps de l’activité…et le souvenir d’Amélie de plus en plus présent…

 

CLE DE BRONZE 2001


L'ADAPTATION - Marion WALTHERT - 1998/1999 - 14 minutes
Thème : Grande brûlée
Résumé : Adaptation à la suite de très graves brûlures. Cette vidéo porte un regard personnel sur l'événement et l'adaptation à la nouvelle vie. Ce n'est pas un documentaire traditionnel sur un handicap. Tant sur le côté formel que sur le contenu.

CLE DE BRONZE 2001


L’ONDE DU CHOC, LE STRESS POST-TRAUMATIQUE(PULSATIONS) Badot Pierre - 2001 - 57 minutes 50

Résumé : Dans quel état psychologique se retrouvent les personnes victimes d’un accident de voiture, d’un incendie, d’une agression, d’une violence sexuelle,d’une collision ferroviaire ?

75% d’entre elles seront choquées pendant les quelques semaines qui suivront l’incident traumatique. Pour les autres 25 %, l’état de choc va se chronifier, on parlera alors du syndrome de stress post-traumatique.


PRIX SPECIAL DU JURY : MEILLEUR OUTIL PEDAGOGIQUE PLURIDISCIPLINAIRE


LE REGARD DE DELPHINE - HUMBERT Nago - 2000 - 50 minutes

Thème : Enfance/Deuil

Résumé : Sous forme de fiction, le film conte l'histoire d'une lutte commune contre la maladie et l'inéluctable, menée par le petite Delphine, ses parents et toute l'équipe médico-chirurgicale qui s'affaire autour de la jeune patiente.


MENTION TELEVISION


NAISSANCE DE LA PAROLE - CAILLAT François - 1999 - 56 minutes

Thème : Le langage chez les bébés.

Résumé : Le langage vient-il dès la naissance et comment ? Doit-on l'apprendre, et sous quelles conditions ? La relation avec la mère est-elle primordiale ? Chercheurs et thérapeutes s'interrogent sur les conditions d'émergence de la parole. On suit des expériences avec des nourrissons savants et des séances de thérapie pour grands enfants mutiques...

On écoute des parents, des linguistes, des médecins...On assiste au dialogue entre des psychiatres et des physiologues...

En dix questions fondamentales, le film montre que l'acquisition du langage exige à la fois une prédisposition génétique et un échange affectif et ludique.


MENTION JEUNE


IROS - FEHNER Léa - 2001 - 16 minutes

Résumé : Un documentaire sur les aveugles et les arts d’images au travers de 3 parcours de malvoyants. Un cinéphile, un acteur et un photographe. Comment une image peut-elle vivre dans le noir ?


MENTION « PAROLE DE VIE »

 

PARLEZ-MOI D’AMOUR - Chantal BRIET - 1999 - 35 minutes

Thème : Adolescence, Amour, Sexualité

Résumé : Ce film est destiné à la formation des adultes, en particulier à ceux qui dialogues fréquemment avec les jeunes autour de ces sujets. Il propose à travers différents entretiens une recherche autour du langage de l‘amour chez  les adolescents. Comment l’adolescent parle-t-il de ses sentiments et de ses désirs ? Qu’est ce qui peut être dit ? Qu’est ce qui doit être tu ? Il est commenté par le Docteur Hélène Jacquemin-Le Vern.

PRIX ROGER CAMAR


LA DEVINIERE - Benoît DERVAUX  - 2000 - 90 minutes

Résumé : Le 18 février 1976, La Devinière, un lieu de psychothérapie  institutionnelle, ouvrait ses portes à 19 enfants réputés incurables, refusés par  tous. Ni le sens commun, ni la psychiatrie, ni la pédagogie ne pouvaient les  admettre, les reconnaître.

Ces enfants, en sommes exilés, La Devinière les a acceptés définitivement  avec comme principe fondateur de ne les rejeter sous aucun prétexte. Le mot « asile » reprend son sens, un espace sans grille, ni chimie où l’on donne le  droit de « vivre avec sa folie ». Durant plus de vingt ans, des liens de solidarité se sont forgés entre ceux que rien ne reliait.

Au fil des saisons, j’ai filmé au plus près ce lieu qui a fait rejaillir la vie là où tout semblait condamné.