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Des sécrétions de crapaud pour aider les enfants à digérer... De la queue de lézard pour guérir l'asthme, mais aussi l'impuissance... Des chenilles mutantes plantées comme des banderilles dans du canard sauvage pour lutter contre la fatigue et les jambes
lourdes... Mais aussi plus simplement, boire du thé vert du matin au soir pour ses fluor, zinc, fer et autres oligo-éléments contre cholestérol et cancer. Voilà quelques recettes au hasard de la pharmacopée chinoise. En Europe, nous utilisons les plantes
chinoises commes adjuvants de certains traitements lourds commes la chimiothérapie, pour en réduire les effets secondaires. Mais en Chine, on soigne TOUT à base de plantes. Les médecins traditionnels ont une méthode étonnante de simplicité pour établir
leur diagnostic : la prise des pouls. On en ausculte 6 principaux et on utilise 30 adjectifs usuels pour les qualifier. Les médecins chinois auraient-ils conservé une sagesse ou une connaissance perdues chez nous ? Leur philosophie et leurs thérapies
sont-elles transmissibles aux Occidentaux fatigués de la médecine technologique et fragmentée que nous pratiquons chez nous ?
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